Ce n’est pas flagrant quand on ne me voit pas de visu, mais je suis une inconditionnelle de Supernatural.
J’ai découvert cette série en mai 2008 (genre de parenthèse enchantée de ma vie), mais pendant des mois, j’étais incapable de la regarder sans Belzébuth (pour celles qui auraient eu vent de l’époque Confé des Gourgandines), chez qui j’étais lorsque nous avons découvert cette série. N’étant que rarement avec elle, je n’ai donc pas beaucoup regardé.
Et puis les rediffusions récentes (tout est relatif), je m’y suis finalement attachée seule, comme une grande, sans Belzébuth.

Puis est arrivée dans ma life Vivi Layton (je vous rassure c’est pas son vrai nom). Avec qui j’ai parlé de Supernatural. Je me suis donc attelée à la saison 4, mais visiblement je n’avais pas assez suivi la 3. C’était pas très grave cela dit, même si c’est mieux de comprendre qui est Lilith et qui est Ruby etc. Et pendant ce visionnage, je suis définitivement tombée du côté Supernatural de la Force.
Mais venons-en au pourquoi du de quelle façon. Qu’est-ce qui est si bien dans cette série ? Pourquoi cette série m’a fait jeter aux orties ma résolution de ne plus me pieuter après 1h (ce que j’avais réussi à faire pendant presque deux mois) ?
Au départ c’était surtout pour Dean (Jensen Ackles, qui contre toute attente m’avait manqué depuis Dark Angel et Smallville, car oui, j’ai regardé des épisodes de Smallville pour voir Jensen). Jensen ne correspond aaaabsolument pas à mes standards de Craquos, mais bon… Il en fait quand même partie :D. Par ailleurs, nous parlons là de Dean, et Dean est carrément kiffable à décès. Il a un sens de l’humour sarcastique, voire cynique, et il me fait donc rire à foison, c’est un peu mon Dave la Marrade du moment.

Dean a une super caisse. Et quand je dis caisse, j’insulte la voiture en fait. Dean a « hérité » de l’Impala de son père. Modèle 1967 (je me souviens de l’année du modèle, c’est vous dire comme je la convoite dans mes rêves les plus fous)(surtout si Dean est livré avec). Et ne vous avisez pas d’abîmer quoi que ce soit ou Dean vous assomme. Si vous avez de la chance. Ci-dessous, elle est un peu poussiéreuse mais c’est uniquement à cause du désert, sinon ça n’arrive pas. Dean bichonne sa chérie.

Dans ce lovely véhicule, Dean écoute de la musique qui déchire (beaucoup de AC/DC, et pas que dans la BO,, ce qui s’étend à la BO de la série, jugez plutôt par le truchement de cette petite sélection.
J’allais oublié de parler de Jared Padalecki, qui n’est évidemment pas désagréable du tout à regarder (bien qu’un léger abus de sourcils froncés soit à déclarer dans la saison 4)(mais c’est compréhensible, franchement ;o). Jared que toute une chacune a pu découvrir dans Gilmore Girls (oui je ne l’ai jamais dit mais il fut une époque où je suivais Gilmore Girls, pendant 2 saisons je crois, la faute à France 2). Allez je suis gentille, je vous mets une photo aussi :D.

Il est plus que temps d’en venir au fond. Supernatural est une série mêlant horreur, comédie et drama. Ah et road-movie aussi.
Sam et Dean sont frères. Dean est chasseur de démons, comme son père (interprété plus tard par je ne sais pas qui, aka Denny dans Grey’s Anatomy). Sam est étudiant en droit, il est doué, il a une meuf et un avenir brillant s’annonce pour lui. Il ne veut pas entendre parler de chasse aux démons etc.
Seulement les choses ne se passent pas comme ça dans la vraie vie, et Dean débarque chez Sam, l’informant de la disparition de leur père, parti chasser quelques jours plus tôt. Le petiot rempile donc, « provisoirement » et les deux frérots vont désormais sillonner le pays en Impala à la recherche de leur père, mais aussi de démons et autres créatures surnaturelles, décimées à base de sel, de fer, et de restes enflammés.
On croise notamment Bloody Mary, une Dame Blanche (pas la coupe glacée), des vampires, des fantômes à tire l’arigot et d’autres créatures assez connues du genre. Il est aussi question de légendes urbaines et autres réjouissances.
La série avançant, l’intrigue « d’arrière-plan » prend le dessus, parce que ça devient sérieux ;o. Ce qui n’empêche pas les épisodes plus légers. Se suivent donc les épisodes « importants », qui ne sont cependant pas dénués de traits d’humour à fort caractère poiladogène, même dans les moments les plus « aaargh », pour détendre l’atmosphère, et les épisodes « marrade », à base de Paris Hilton décapitée, parodies de films ou de séries, ours en peluche dépressif qui prend vie, j’en passe et des meilleures (littéralement).

Sachez aussi que les titres des épisodes sont bien plus drôles en anglais. Exemple de la deuxième saison Children shouln’t play with dead things est devenu Au-delà des apparences… Cela étant dit, la VF est pas mal, puisque j’ai quand même regardé en VF assez longtemps, mais évidemment, comme d’hab, la VO c’est mieux, dude. Et il y a plus de gros mots en VO, bizarrement. Plus de fuck, bitch, bastard et autres dick etc. (Je vous tiens au jus si cette phrase a une influence sur les requêtes xD).
Si avec tout ça je vous ai pas donné de regarder au moins un épisode, ben… C’est fort dommage.