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Une année de séries

Je commence avec le bilan final de mon Challenge Séries 2014. J’avais apparemment mal compris le truc à propos des séries toujours en cours de diffusion, mais j’ai la flemme de tout recalculer, donc les épisodes après les plus correspondent aux épisodes de la saison en cours au 31 décembre.

√ American Horror Story : 100% – 36/36 + 9/10 épisodes vus
Being Human US : 0/52 épisodes vus
√ Broadchurch : 100% – 8/8 épisodes vus
√ Charmed : 100% – 17/17 épisodes vus
√ Dexter : 100% – 24/24 épisodes vus
√ Elementary : 100% – 48/48 + 8 épisodes vus
√ Fringe : 100% – 100/100 épisodes vus
√ The Mentalist : 100% – 63/63 épisodes vus
Moonlight : 0/16 épisodes vus
The Thick of It : 0/24 épisodes vus + 1 tvfilm
√ True Love : 100 % – 5/5 épisodes vus
Veronica Mars : 0/64 épisodes vus

Total : 65,7% – 301/458 épisodes vus

Vu que j’ai tardé à m’y mettre sérieusement, je suis plutôt satisfaite, tout spécialement concernant Fringe et Elementary que je voulais commencer depuis longtemps (mais surtout Fringe). Je suis aussi très contente d’avoir enfin terminé Charmed, qui fait désormais officiellement partie de mon passé sériephile.

Toutes les bonnes découvertes qui suivent compensent l’amertume de l’évolution de Doctor Who et Supernatural,  qui m’ont toutes les deux déçue cette année. Même si je ne trouve pas tous les épisodes de la dernière saison de DW autant à chier que les premiers, je peine quand même à les trouver ne serait-ce qu’un tant soit peu remarquables. Exactement comme la saison 7, dont je n’ai d’ailleurs pas beaucoup de souvenirs (go figure). C’est du vite consommé, vite digéré à l’américaine, et associé au sexisme continuel de Moffat, ça me rend amère. Les bons jours. Les mauvais jours, je peux devenir méchante. Une adaptation américaine naze, c’est une chose, une transformation de la série d’origine en est une autre. J’en suis quand même à un point où quand on me demande si rattraper DW après la S4 vaut le coup, je réponds que la 5 et à la limite, la 6 valent le détour, mais que ce n’est pas vraiment la peine de regarder le reste…
Quant à Supernatural, déjà la saison 9 semblait offrir des tas de possibilités peu, mal ou pas exploitées, mais alors là les gars, on s’emmerde. Dean en démon, je crois que ça restera le truc le plus sous-exploité de toute l’histoire de la série (et je dis ça alors que je shippe Destiel)(et Megstiel). J’ai néanmoins aimé le 200ème épisode, qui de toute façon était une sorte de hors-série et échappait aux reproches par rapport à l’arc de la saison (quel arc, me demande-je parfois).

Qu’ai-je regardé d’autre cette année ? Lire la suite Une année de séries

Séries télé : quand les personnages s’ancrent dans la réalité

Depuis quelques années, les séries aiment jouer avec la barrière entre réalité et fiction, passer les frontières de la télé pour nous atteindre grâce à d’autres médias par l’intermédiaire de leurs personnages : comptes Twitter officiels, sites, blogs, livres,… Les personnages, qui n’existent pourtant d’ordinaire que dans leurs fictions, sortent de l’écran et s’amusent sur le net. Certaines séries ne sont plus seulement des séries télévisées mais deviennent dans une certaine mesure des « séries multimédias » en allant plus loin que les produits dérivés habituels. Et ça m’éclate !

Avec l’avènement des réseaux sociaux, et notamment de Twitter qui augmente le nombre de ses utilisateurs de jour en jour et atteint maintenant des chiffres impressionnants, tous les membres d’une équipe de tournage – des techniciens aux acteurs en passant par les scénaristes – peuvent partager leur travail et leur passion comme monsieur et madame tout le monde. Mais leur travail à eux se trouve, dans le cas qui nous intéresse, dans l’envers du décor d’une série. Ils partagent souvent des photos des sets, des anecdotes de tournage,… Désormais, tout le monde peut voir et savoir comment une série est faite, et peut le savoir immédiatement et d’un point de vue interne. Là où il y avait un monde un peu fermé autour de la réalisation et de la production d’une série quand seuls les professionnels (et les journalistes dans une moindre mesure) y avaient accès, il y a maintenant des moyens, à travers les réseaux sociaux, de savoir comment ça se passe.

Pourquoi ne pas alors en profiter et faire de ces réseaux sociaux un moyen pour les personnages de communiquer « directement » avec les spectateurs et d’être en contact quasi permanent avec eux. Les exemples qui me sont venus à l’esprit et que je vais citer ci-dessous sont des séries qui inscrivent ce phénomène dans une logique et qui maîtrisent leurs personnages jusqu’au bout. Et pourquoi pas aller plus loin que les réseaux sociaux et explorer un plus large éventail du web avec les sites et les blogs.

  • Richard Castle, écrivain presque réel

Castle est l’exemple le plus complet que je puisse citer à mon avis. Le personnage principal, l’écrivain Richard Castle, a un compte Twitter et une page Facebook, met à jour son site internet et écrit des romans qui sortent dans de vraies librairies. Ces objets dont on entend parler dans la série et qu’on voit même à l’écran (on nous a montré le site internet et je ne compte plus le nombre de fois où l’on a vu un des romans) sont autant de pas du personnage hors de l’écran, dans la réalité. On peut tweeter Richard Castle, on peut consulter son site web et on peut acheter et lire ses romans. C’est drôle, ça relève de la mise en abîme en ce qui concerne les livres et c’est une autre manière de permettre l’identification au personnage. Mais j’y vois aussi une volonté de coller à la personnalité de l’écrivain jusqu’au bout. C’est une tribune pour lui, un moyen comme un autre de pouvoir parler à ses lecteurs et à ses fans, comme les auteurs de la réalité le font.

Kevin Ryan s’y est mis aussi puisqu’il a créé un site internet pour nous raconter son mariage, comme tout le monde pourrait le faire. On a tous des amis qui ont ouvert un blog ou un site pour nous parler d’un évènement : un voyage, un nouveau travail, un mariage,… Ce site est un moyen de rendre les personnages plus réels en utilisant des photos du vrai couple que forment Seamus Deaver (qui interprète Kevin Ryan) et Juliana Dever (qui joue Jenny Duffy O’Malley). Mais aussi en ajoutant des éléments au background des personnages en racontant comment ils se sont rencontrer, comment ils sont tombés amoureux, et comment s’est passé la demande en mariage qu’on a pu voir à l’écran dans l’épisode 3×11 : Nikki Heat de Castle. Les fans ont même la possibilité de laisser un message dans le livre d’or.

  • Sherlock Holmes et John Watson, rois du net

Du côté des séries britanniques, Sherlock est aussi une pro. Sherlock Holmes a un site internet, John Watson a un blog. Il y a une volonté d’aller jusqu’au bout de la démarche qui consiste à utiliser les nouvelles technologies et ainsi ancrer le personnage dans le 21ème siècle. Le Sherlock Holmes de Conan Doyle a non seulement un talent de déduction incroyable mais aime également utiliser la pointe de la technologie de son époque. Logique alors de le voir utiliser Internet, un téléphone portable, un ordinateur ou autres dans l’adaptation imaginée par Steven Moffat et Mark Gatiss qui transpose le héros et son acolyte à notre époque.

Et puisqu’ils sont cités dans la série, pourquoi ne pas vraiment créer le blog de Watson et le site de Sherlock afin que nous puissions, nous téléspectateurs, voir le résultat de ce que les personnages font dans les épisodes, voir le résultat de leur utilisation de cette technologie ? Pourquoi ne pas les créer vraiment quand ils font partie intégrante de l’intrigue de certains épisodes, comme dans le 2×03 : The Reichanbach Fall où les personnages sont devenus célèbres grâce au blog de Watson ? Les journaux que l’on peut voir dans cet épisode titrent « Hat-man and Robin: The web detectives« , « Sherlock & John: Blogger Detectives« , « Sherlock Net ‘Tec« , »Sherlock Holmes: net phenomenon« .

  • Girl Number 9, des personnages avant la série

Du côté des web séries, Girl Number 9 de James Moran utilise ce genre de procédés. Certains personnage de cette mini web série anglaise avaient des comptes Twitter avant la diffusion des webisodes. C’est bien sûr une stratégie de communication et de promo sympa, mais c’est aussi utiliser le concept de web série à fond. Les personnages peuvent vivre sur le net en dehors de la série et dans ce cas précis avant même la diffusion de celle-ci. Pouvoir suivre leurs conversations sur Twitter, c’est commencer à les connaître et à s’attacher à eux avant de les voir. C’est découvrir les personnages comme on découvre un nouveau follower sur Twitter. C’est apprendre à connaître leur univers comme on apprend à connaître celui d’une personne qu’on suit sur Twitter. C’est mettre au même niveau un personnage fictif et les utilisateurs de Twitter et donc suggérer qu’il y a une existence IRL derrière les tweets comme pour les autres utilisateurs. Alors qu’ils ne sont que fiction, les personnages deviennent presque réels quand la série sait profiter de certaines possibilités qu’offre Internet en matière de communication.

  • Doctor Who, le Docteur s’adresse à nous

Il y a également les séries dont les personnages s’adressent directement aux spectateurs sans passer par autre chose que l’écran mais qui, en procédant ainsi, se mettent sur le même plan d’existence que le nôtre. Je pense en particulier à Doctor Who. Par exemple, Eleven s’est adressé aux jeunes téléspectateurs de la série pour qu’ils lui écrivent une aventure. Avant lui, Ten s’adressait aux spectateurs des Doctor Who Proms. Ce sont des instants, ça ne dure que quelques minutes à chaque fois, mais ça rend le personnage plus réel. Comme s’il n’y avait plus deux mondes, celui de la fiction et celui de la réalité, mais bien un seul et que le Docteur se baladait quelque part à Londres en ce moment-même ou sur une autre planète dans un autre temps.

Ce qui me plait vraiment dans tout ça, c’est le fun. Le jeu évident avec le téléspectateur. Ces séries ont bien compris que celui qui regarde n’est pas qu’un téléspectateur. Il est aussi un internaute, un lecteur,… Et la série peut le toucher et l’atteindre de différentes manières. Alors, bien sûr, il s’agit d’un formidable outil de communication et de promotion, mais c’est aussi la cerise sur le gâteau pour moi. Faire vivre les personnages en dehors de la série et du petit écran, c’est s’amuser avec eux et avec les téléspectateurs et permettre une identification aux personnages par d’autres moyens. Ce sont des petits à-côté qui rendent l’univers d’une série plus fun.

CdMS – 8èmes de finale

CdMS – Tour 2

Bonjour ! Comme promis, voici le DEUXIEME TOUR de la Coupe du Monde des Séries !

Les choses se compliquent, il y a eu quelques surprises, bonnes ou mauvaises. Le Whoniverse est encore là avec ses deux représentantes, mais Torchwood se retrouve face au gagnant de la précédente édition, Dexter.
Gossip Girl a réussi à se débarrasser de Chuck, mais arrivera-t-elle à éliminer NCIS ?

Soutenez vos séries fétiches et faites voter vos amis, toutes les voix comptent ! Lire la suite CdMS – Tour 2

CdMS – Tour 1

Pour ceux qui préfèrent ne pas voter sur FB et rester anonymes, voici le PREMIER TOUR !

Prévoyez un peu de temps, il y a 32 matches. Si vous trouvez parfois difficile de choisir, ça va être pire après… Lire la suite CdMS – Tour 1

TV Show challenge

Après iLLy et Miss Babooshka, je me lance dans ce challenge séries.

Quatre séries préférées (Je prends mes séries préférées du moment – aka les 4 premières qui me viendront à l’esprit), pas mes séries préférées en général, parce que je pourrai pas en choisir 4.):

  1. Chuck
  2. Misfits
  3. Supernatural
  4. Doctor Who

Quel est ton personnage préféré en 2 ?
Simon Bellamy. (cf article précédent :))

Quel est le personnage que tu aimes le moins en 1 ?
Emmett. Et en tant que shippeuse, Bryce, qui est très doué pour arriver pile quand il faut pas. Mais en tant que fille je le kiffe, bien qu’il soit pas grand. (edit: j’ai rédigé cet article y’a deux jours, avant de commencer la saison 3)

Quel est ton épisode préféré de la 4 ?
C’est dur comme question… Probablement la « trilogie » de la fin de la saison 3.

Quelle est ta saison préférée de la 4 ?
La quatrième, même si la saison 2 n’est pas loin derrière, je suis trop fan de Donna.

Combien de temps as-tu regardé la 1 ?
Alors.. je crois que ça fait à peu près deux semaines que je m’y suis mise sérieusement. J’avais vu le deuxième épisode à la télé, j’avais beaucoup beaucoup aimé, mais les séries du dimanche, j’avais tendance à oublier de les suivre à l’époque. J’ai vu un autre épisode plus tard, mais j’ai jamais vraiment suivi avant ce mois-ci.

Comment as-tu commencé à t’intéresser à la 3 ?
J’ai déjà raconté ça, mais c’était lors d’un séjour chez Hazel, sur M6. C’était le début de la saison 1.

Quel est ton acteur préféré en 4 ?
Daviiiiiiiiiid ♥, et en deuze, j’hésite fortement entre John Barrowman et John Simm.

Quelle série préfères-tu, 1, 2 ou 4 ?
Si je devais faire un choix pour survivre ou pour sauver quelqu’un, Doctor Who.

De quelle série as-tu vu le plus d’épisodes, 1 ou 3 ?
Ah ben Supernatural, sans aucun doute, même si j’ai effectivement loupé la saison 3 comme je le soupçonne, ça fait toujours plus de quatre saisons visionnées, contre pas encore deux. (Mais j’ai presque fini la saison 2 de Chuck)

Si tu pouvais être n’importe qui de la 4, qui serais-tu ?
J’aimerais bien être Rose évidemment ;o, mais disons Martha. Ou Reinette :). Ou Sally Sparrow plutôt !

Comment voudrais-tu tuer ton personnage favori de la 3 ?
En laissant mon cheeseburger sauce qui pique dégouliner dans l’Impala ? Dean ferait une crise cardiaque. Ou alors il me tuerait moi, en fait…

Une réplique/citation de la 3 ?
Y’en a une qui me vient là, oui : « Eat it Twilight ! » —Dean, saison 5 épisode 3 « Free to be you and me »

Y’a-t-il eu (ou y’aura-t-il) un crossover entre la 3 et la 4 ?
Ce serait fun, mais c’est très proche de l’impossible.

Dans l’ensemble, quelle série a le meilleur casting ?
Je suppose que ça se joue entre Misfits et Doctor Who.

Laquelle a le meilleur générique, 2 ou 4 ?
Misfits ! J’aime d’amour les génériques de DW, mais Echoes de The Rapture, ça déchire.

Who Actually

Selon le Daily Star, Colin Firth, récent gagnant d’un Golden Globe pour son rôle dans The King’s Speech, aurait déclaré :

Je ne déclinerai jamais un rôle dans Doctor Who ou Torchwood. J’adorerais jouer un méchant, je suis quelqu’un de beaucoup moins sage que les gens ne le croient.

Je suis à fond pour, j’espère que quelqu’un de la production whovienne a lu ça et que ça aboutira à quelque chose :D. Quel genre de personnage vous le verriez incarner ?

Séries: Day 8, A show everyone should watch (La série que tout le monde devrait voir)

11 bonnes raisons de regarder Doctor Who
(j’en aurais bien mis 42 mais j’ai pas trop le temps)

  1. Le TARDIS voyage dans l’espace. Ce qui veut dire que l’on visite des planètes diverses et variées, comme une planète entièrement recouverte de ce qui semble être du sable, ou des lieux encore plus insolites comme
  2. Le TARDIS voyage dans le temps. Ce qui nous amène dans le passé (pendant la deuxième guerre mondiale, l’antiquité romaine) ou dans le futur (fin du monde, Nouvelle Terre).
  3. Le Doctor aime l’art terrien. Ce qui rend possible les apparitions de Shakespeare, Charles Dickens, Van Gogh, Agatha Christie… C’est donc une série qui sert aussi à se cultiver, mais sans nous obliger à le faire pour comprendre l’épisode. C’est d’ailleurs aussi valable pour les épisodes se déroulant dans le passé.
  4. Il y a de l’humour 🙂 (anglais évidemment, mais aussi de l’humour tout court).
  5. 3 saisons plus « specials » de sexiness David Tennant, ça ne refuse pas.
  6. Bananas are good.
  7. On voit John Barrowman (connu chez certaines sous le titre de « Dieu ») nu dans au moins un des épisodes.
  8. Doctor Who est bien plus qu’une série de sci-fi anglaise, elle fait partie de la culture britannique.
  9. Il y a de l’émotion. Beaucoup, mais pas écœurante. Distillée, voire finement distillée suivant l’auteur de l’épisode. C’est quand même la seule série (cela dit je suis sûre que dans Buffy ils auraient pu le faire aussi) où on peut voir un homme à face de cochon sans avoir envie de rire tout de suite.
  10. Les ennemis du Doctor sont cool, mais pas au sens « gentil ». Les Daleks (le truc inexplicable sans photo aux non-initiés)(un coucou à Bob puisque j’en ai l’occasion xD), des hommes transformés en machines, les Cybermen ; le Master (interprété par John Simm, le méchant qui danse et qu’on kiffe, favourite villain ever pour ma part, le Joker compris (je sais pas si vous voyez un peu le niveau ;o), les Weeping Angels (parfaits pour vous flanquer une phobie des statues) etc.
  11. Nouveau Doctor, nouvelle vie, Doctor Who est une série qui ne se repose pas sur  ses lauriers et continue d’évoluer tout en restant fidèle à elle-même, et cela même quand tout-va-très-bien-merci-on-commence-même-à-cartonner-outre-Atlantique. Matt Smith a été craint, attendu, puis adoré (pas par tout le monde, évidemment), je ne le trouve pas décevant du tout et complètement à la hauteur avec son propre Doctor néanmoins conforme aux autres. Sans compter l’alchimie entre lui et Karen Gillan, quand la sauce prend d’un côté de l’écran, ça se sent de l’autre.

Je pourrais continuer, mais je voulais que le nombre ait un sens et j’ai pas eu d’idées de nombre entre 11 et 42. Ah si, il y avait 26, soit le nombre d’années depuis lequel Doctor Who est diffusé sans interruption à la télévision britannique. Mais c’est l’heure du goûter et j’ai faim.

Séries: Day 7, Least favorite episode of your favorite show (Moins bon épisode de la série préférée)

Je crois que l’épisode qui m’a le plus laissée indifférente, c’est The Waters of Mars. Je saurais pas dire pourquoi. Gridlock non plus ne m’a pas laissé un souvenir impérissable.

School Reunion je ne l’ai pas encore vu sans rien faire d’autre, donc je ne le cite pas (lol), dans le doute, mais honnêtement, à part le dialogue entre Rose et Sarah Jane et la présence de K-9 (et celle d’Anthony Head :D), ben je me rappelle pas d’un truc génial.

Je les aime bien quand même, mais c’est pas ceux-là sur lesquels j’me suis repassée les scènes que je préférais dans ma tête juste après les avoir vus.

Séries: Day Four, my favourite show EVER

J’avais pas envie de mettre la traduction là :D.

Gros match dans ma tête. Il a nécessité quelques moments de réflexion intense. Beaucoup de courts moments se terminant par « bon il faut que je fasse ça, en plus ». « ça » se référant à diverses choses.

Bref. En fait j’ai toujours pas de réponse au bout de deux jours, et puis f*ck, pourquoi à cette question là, je ne me permettrais pas de mettre deux réponses, comme à d’autres ? Aucune raison, vraiment.

Donc voilà. Et je crois que ça se passe de commentaires :D. De ma part je veux dire ;o, je ne veux pas vous dissuader de commenter.