11 bonnes raisons de regarder Doctor Who
(j’en aurais bien mis 42 mais j’ai pas trop le temps)
- Le TARDIS voyage dans l’espace. Ce qui veut dire que l’on visite des planètes diverses et variées, comme une planète entièrement recouverte de ce qui semble être du sable, ou des lieux encore plus insolites comme
- Le TARDIS voyage dans le temps. Ce qui nous amène dans le passé (pendant la deuxième guerre mondiale, l’antiquité romaine) ou dans le futur (fin du monde, Nouvelle Terre).
- Le Doctor aime l’art terrien. Ce qui rend possible les apparitions de Shakespeare, Charles Dickens, Van Gogh, Agatha Christie… C’est donc une série qui sert aussi à se cultiver, mais sans nous obliger à le faire pour comprendre l’épisode. C’est d’ailleurs aussi valable pour les épisodes se déroulant dans le passé.
- Il y a de l’humour 🙂 (anglais évidemment, mais aussi de l’humour tout court).
- 3 saisons plus « specials » de sexiness David Tennant, ça ne refuse pas.
- Bananas are good.
- On voit John Barrowman (connu chez certaines sous le titre de « Dieu ») nu dans au moins un des épisodes.
- Doctor Who est bien plus qu’une série de sci-fi anglaise, elle fait partie de la culture britannique.
- Il y a de l’émotion. Beaucoup, mais pas écœurante. Distillée, voire finement distillée suivant l’auteur de l’épisode. C’est quand même la seule série (cela dit je suis sûre que dans Buffy ils auraient pu le faire aussi) où on peut voir un homme à face de cochon sans avoir envie de rire tout de suite.
- Les ennemis du Doctor sont cool, mais pas au sens « gentil ». Les Daleks (le truc inexplicable sans photo aux non-initiés)(un coucou à Bob puisque j’en ai l’occasion xD), des hommes transformés en machines, les Cybermen ; le Master (interprété par John Simm, le méchant qui danse et qu’on kiffe, favourite villain ever pour ma part, le Joker compris (je sais pas si vous voyez un peu le niveau ;o), les Weeping Angels (parfaits pour vous flanquer une phobie des statues) etc.
- Nouveau Doctor, nouvelle vie, Doctor Who est une série qui ne se repose pas sur ses lauriers et continue d’évoluer tout en restant fidèle à elle-même, et cela même quand tout-va-très-bien-merci-on-commence-même-à-cartonner-outre-Atlantique. Matt Smith a été craint, attendu, puis adoré (pas par tout le monde, évidemment), je ne le trouve pas décevant du tout et complètement à la hauteur avec son propre Doctor néanmoins conforme aux autres. Sans compter l’alchimie entre lui et Karen Gillan, quand la sauce prend d’un côté de l’écran, ça se sent de l’autre.
Je pourrais continuer, mais je voulais que le nombre ait un sens et j’ai pas eu d’idées de nombre entre 11 et 42. Ah si, il y avait 26, soit le nombre d’années depuis lequel Doctor Who est diffusé sans interruption à la télévision britannique. Mais c’est l’heure du goûter et j’ai faim.